Un pavillon à claires-voies
Abrite doucement nos joies
Qu'éventent des rosiers amis ;
L'odeur des roses, faible,
grâce
Au vent léger d'été qui passe,
Se mêle aux parfums qu'elle a mis ;
Comme ses yeux l'avaient
promis,
Son courage est grand et sa lèvre
Communique une exquise fièvre ;
Et l'Amour comblant tout,
hormis
La Faim, sorbets et confitures
Nous préservent des courbatures.
Copyright © Hubert Pauget 2008 |